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Contact Info
Vladimir Nicolas | |
Montreal | |
Canada | |
438 321 2712 | |
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PK Poetry-Kingdom |
Biography
Biographie de Vladimir Nicolas.
Né le 2 septembre 1979 à Cap-Haïtïen, l'auteur a plusieurs passions que sont La philosophie, la littérarue et le cinéma, il étudie à UQAM en sociologie.
Et esprit cosmopolite, il s’intéresse à différentes cultures, les langues étrangères, et créer des amitiés à l’étranger, écrivant autant dans la langue de Molière que de Shakeaspeare, l'auteur a écrit d'autres oeuvres poétiques et ses premiers nouvelles.
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Bibliography
Disponible au Canada chez Bouquinplus.com
Camelots des Citées d'Or. Oiseaux de mauvais augures, postés à toutes les stations de métro, les camelots besognaient à la tâche nécessaire d'informer les petits et les grands de Ce monde sur l'actualité. Malgré que les nouvelles à la Une soient plus tragiques, car on vivait à une époque où les malheurs de tous et chacun vendaient des journaux et des pilules dorées, les camelots des Cités d'or, c'est-à-dire toute ville riche ou capitale influente sur la planète, n'étaient point des corbeaux, mais des gens ordinaires qui gagnaient leurs pains à la sueur de leur front.
Témoin de l'aube et du crépuscule des Citées d'Or, le camelot clamait qu'une Citée d'Or fut toute ville ou nation qui devint riche en dévorant les rêves d'amour, de fortunes et de partage de ses citadins, surexposant sans gêne sa richesse aux yeux du travailleur pauvre, mais une Cité d'Or que le temps faisait périr à cause de la détresse permanente du simple citoyen, de son trop d'injustices, et d'hypocrisies, car les Cités d'Or ne voulurent jamais partager leur gloire et leurs postérités à l'humanité toute entière. A man and his spiritual kingdom novels poetry
novels poetry Ce livre est issu de mon observation du monde moderne, de ses villes grises où l'argent domine l'esprit des gens tandis que l'humanité des hommes s'efface peu à peu de leurs existences au risque que la race humaine finisse dans une vente aux enchères... Automato et Humanus read more on Manuscrit.com La fin de l’humanité Des poèmes cyberpunk sur l’origine du conflit mondial Une grave crise économique touchant les pays riches empire suite à des malversations boursières. Devant l’échec inévitable de leur société, les dirigeants de l’Amérique du Nord, de l’Europe et de l’Asie prétextent l’ordre et la sécurité pour enfermer leurs peuples dans de grands blocs territoriaux et politiques. La suite ne dit pas s’ils se sont fait aussi la guerre, mais c’est ce monde divisé entre trois superpuissances qui permet la venue du Monopole unifiant la Terre avant sa guerre contre la Périphérie. poésie - nouvelles À la mort de sa mère en 1990, il immigre au Canada pour y continuer ses études. Présentement à l'Université du Québec à Montréal (UQAM), il est étudiant en sciences sociales. Esprit cosmopolite, ses poèmes s'inspirent de lui-même, des actualités, de ses connaissances livresques et de ses pensées philosophiques sur la nature humaine, son thème favori de cogitations.
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Literary critic
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Translation
Vladimir Nicolas. Born on september 2, 1979 in Cap Haitien at Haiti. In 2007, he published AZRAEL, his first book of poetry dedicated to his deceased mother, Ruth Louis by Societé des Écrivains in France. Then, in 2008, the French publisher Le Manuscrit contracted him for publishing a cyberpunk poetry book titled AUTOMATO ET HUMANUS with Cyberpunk themes such as global dictactorship, all-mighty corporations, conscious robots, human clones, spreading worldwide poverty, and a global revolution led by a mysterious lady named Shareen lee Boyle (from her true name Madeleine Sorrow). In 2011, the poetry book RENAISSANCE will be release on June for publication in United States by American Book Publishing..
NEW ! Is there a more perfect love than a child's love for his mother? Renaissance is a collection of poetry about such a love, However,Loos ensues as the mother reaches an untimely death, and the poetrydemonstrates different distinctions of love.How it does not appeal to the now grown child anymore, and how that loss hasGreat imparied thier sense of well being. The poems are steps in grief-taking a look at several angles intothe why and how humans feel the way they do. This book will appeal to loversof classical or abstract poetry and to those who have felt the pain and losing a loved one.
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Extract of book
Botaniste de l’Amour. À toutes les saisons, l’Amour nous embauchait, comme son botaniste préféré. Jeunes et matures, ce furent les couleurs de ces fleurs et ces femmes croisées. Sans pouvoir leur parler ; nous leur soufflions un « Bonjour ! », geste admiré. Fleurs solitaires, et pourtant elles étaient belles. Des femmes aux coeurs brisés Ou fatiguées à force vivre, nous ne savions rien de l’altitude de leur solitude. Souvent très confiantes, chaussées avec des bottes militaires, elles rêvaient De conquérir l’amour plutôt que l’Asie comme de vaincre cette inquiétude De ne pas oublier d’être belles et brillantes pour avoir l’amour à leurs chevets. © Vladimir Nicolas
Stations de métro Dans la Cité d’Or, toutes les stations de métro n’étaient pas toutes pareilles. Bien que bâtie par la même cité, chacune d’entre elles eut une âme personnelle. Chacune avait un vécu différent de toutes les autres, car dans leurs tunnels Voyageaient le gueux avec le businessman, locataires de la vie sans merveille. Pour nous les camelots, le métro était notre gagne-pain. Chaque matin, Sommes-nous toujours debout. Encore endormis ou drogués au café, Nous partions au travail. Comme des camelots, Libres ou simples pantins, Nous vivions la vie moderne avec vous, destin maudit dont nul a triomphé. © Vladimir Nicolas
L’Argent du peuple Plus grand que la paye d’un grand camelot, c’était l’argent des gens, De toute une nation. Chaque jour, il était de plus en plus gaspillé. Au lieu de bâtir des écoles, on bâtira des colisées pour le piller. Ici, en travaillant plus, on en volera le fruit jusqu’au bonheur des gens. Moins bien géré que le salaire d’un petit camelot, l’argent du petit peuple prendra Discrètement maints vols jusqu’aux Bahamas. Et au petit peuple, l’Etat lui exigera De travailler plus fort, car les entreprises n’étaient plus taxables. A nous, on dira Que pour sauver des jobs, on devait se la fermer ! Et à la télé, on falsifiera La comptabilité : pour qu’on ne pense pas, avec des chiffres, on nous effrayera. © Vladimir Nicolas
Société sans futur La société sans futur, elle était la jeunesse, enfumée dans son joint. Frivole, elle pestait contre tout. Tel un curé, tous ont voulu Parler à ces jeunes. Pour les inciter à étudier, non manichéen Nous devrions penser, car point stupides étaient les jeunes, salut De notre société dans dix ans à partir de maintenant. Qui le savait ? Contre leur décrochage scolaire, il fallait lutter au commencement, Mais nous les adultes, occupés à la Bourse, on manquait de jugement. Trop tard, c’était maintenant : notre morale à la jeunesse fut un navet. © Vladimir Nicolas
Peur d’aimer A l’an deux mille, les femmes furent belles, mais elles étaient seules. Brune, blonde ou rousse, on n’a jamais eu tant de choix dans la vie, Mais à l’an deux mille, disparue était l’envie d’amour. Et les aïeules, Mères de ces belles, elles pleuraient de leurs filles vides d’amour, car l’envie D’aimer était fanée. Ouvrières ou étudiantes, leur temps sera long de vivre seul. Fidèle à mon poste de travail, les femmes s’en allant travailler, je vois. Avec la solitude, le soir venu dans leur appartement, elles iront sûrement fêter. La peur d’aimer, c’était la maladie virale du siècle. Peut-être, il faut réinventer Les poèmes et les lettres d’amour, car en amour, il n’y avait pas d’autres voies Pour courtiser la main d’une fille. Malgré notre science, l’Amour, il était resté Un mystère total comme devant nos écrans tactiles pour rester sans voix ; Nous étions muets en voyant une jolie femme. Or, l’Amour était un grand bavard. Armé des fleurs, un coeur amoureux aimait déclarer tandis que couillards Préféraient les courriels, l’amour vrai trouvera toujours une voie. Pour triompher dans ce monde, il sera inventif et brave, car il n’était jamais tard Pour l’Amour pour conquérir, faire rire et faire pleurer, car on avait encore sa foi. © Vladimir Nicolas.
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