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Cristina fdjesus | |
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Biography
Biographie de l’auteur :
Cristina F.D.JESUS, née en 1970 au Portugal, vit depuis l’âge de 5 ans en Auvergne, sa terre d’adoption. Mariée à 20 ans, elle a 2 fils, nés en 1993 et 1995. Secrétaire pendant quelques années, aujourd’hui elle est comptable dans un centre hospitalier. La passion pour les livres et l’écriture, elle l’a depuis l’adolescence. Mais il lui aura fallu attendre la quarantaine pour avoir enfin le courage de vous présenter son premier roman « L’Ultime Espoir de l’Humanité ». son deuxième roman " L'improbable pacte d'amour" son troisième roman " Et le pacte se brisa " septembre 2012... son quatrième roman " Avant que le vent..." avril 2013
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Bibliography
Rentrée littéraire 2013. Avant que le vent....
Elle s'appelait Rosa, Il s'appelait Francisco. Il était cantonnier mais il avait l'âme d'un jardinier. C'était une femme pieuse, qui consacra sa vie à sa famille. De souvenirs en souvenirs, la petite fille que j'étais vous emporte tantôt au Portugal, à Santa Maria de Airäo, petit village où vécurent mes grands-parents, tantôt en France dans le Puy-de-Dôme, où je demeure encore. Des années 1970 aux années 2000, c'est trente ans de bonheur, parfois de souffrance, que l'enfant puis l'adulte que je suis devenue, partage avec vous. Quelle était belle la bâtisse qui m'avait vue grandir ! Certes sans grand confort mais si chaleureuse ! Qu'il était loin le temps où grand-père et moi vivions heureux avec si peu...... Se procurer le roman : Avant que le vent...
Rentrée Littéraire septembre 2012. Et le pacte se brisa ...
Marie,adolescente de quinze ans, va malencontreusement découvrir qu'elle est uneenfant adoptée.Avec l'aide de son Emilie, la jeune fille va se lancer dans la quête de ses origines afin de retrouver sa mère biologique. Sa rencontre avec Julien le beau ténébreux rebelle du lycée, va l'entraîner dans une longue descente aux enfers.L'adolescente échappera de peu à la mort.
Présentation de l’œuvre de mon premier roman : L'ultime espoir de l'Humanité
Résumé : Eléna, née d’une mère terrienne et d’un père smaëllien, découvre, à l’âge de 17 ans, ses origines. Un être de lumière lui révèle le passé et le futur de la Terre, l’espèce humaine est en danger… Dotée de pouvoirs, Eléna rencontrera Nantan, de leur union naîtra les quatre éléments. L’eau, le feu, la terre et l’air grandissent en harmonie avec la nature. Mais en 2045, la Terre-Mère, meurtrie, se révolte. Arriveront-ils à sauver la planète ? Est-ce la fin de notre civilisation ?
« L’Ultime Espoir de l’Humanité » est un roman du genre fantastique mêlant pouvoirs magiques et engagement écologique. C’est un appel à la réflexion sur le rôle de l’homme dans l’évolution et la détérioration de la vie sur Terre. A travers le destin fantastique de l’héroïne et de sa famille, vous êtes invité à voyager dans l’espace et le temps. Vous découvrirez alors que le monde peut être à la fois beau et cruel.
Présentation de mon second roman : "L'improbable pacte d'amour"
Résumé : Deux femmes, Catherine, la quarantaine, Laila, jeune étudiante de vingt et un ans. L'une se bat depuis sept ans contre la stérilité, la seconde va être brutalement confrontée au dur choix de l'avortement. Leurs chemins vont se croiser, secrètement un pacte d'amour va être scellé et changer à jamais leur destin. Entre souffrances, espoirs et déceptions, les deux héroïnes vont mener le combat de leur vie. Qui du cœur ou de la raison va l'emporter ? Au-delà des sujets tabous que sont la stérilité et l'avortement, cette histoire est avant tout un hymne à la vie.
"L'improbable pacte d'amour" est un roman principalement destiné à un éditorial féminin. Un récit très actuel qui tourne autour de la femme et de sa fertilité. Une alliance touchante et improbable entre deux femmes qui va se transformer en un pacte pour permettre de donner la vie. en vente sur Amazon.fr
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Literary critic
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Translation
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Extract of book
Avant que le vent ....
- Grand-père, comment savez-vous s’il va pleuvoir ou s’il va faire très chaud ? lui demandai-je, espérant au plus profond de moi-même qu’il acceptât de me transmettre son savoir.
- Il suffit d’observer les nuages et d’écouter le vent murmurer.
- Parce que vous entendez le vent parler ? m’étonnai-je, émerveillée.
- Oui, il te suffit de fermer les yeux et de tendre l’oreille. Veux-tu essayer ?
- Vous croyez que j’y arriverai ?
- Si tu n’essaies pas, tu ne le sauras jamais.
- Alors, je vais essayer !
- Ferme les yeux. Ne bouge plus. Tu dois te concentrer et t’armer de patience.
Je fis ce que grand-père me dit. Mais après être restée un long moment immobile, je rompis le silence.
- Grand-père, j’entends pas le vent parler ! dis-je, avec une triste mine.
- Tu en es certaine ? Parce que moi, je l’ai entendu.
- Moi pas !
- Peut-être parce que tu ne tends pas assez l’oreille, ou peut-être que tu ne sais pas reconnaître son murmure. Qu’as-tu entendu, ma chérie ?
- Des oiseaux qui chantaient, le bruit de l’eau qui coulait dans le lavoir… Et les feuilles de l’oranger qui bougeaient…
- Ben, tu vois, tu l’as entendu ! Le bruissement du vent dans les feuillages, c’est son murmure. Lorsque tu sens sur ta joue un souffle d’air chaud ou d’air froid, c’est le vent qui te dit : « Attention, il fait chaud, n’oublie pas de te protéger du soleil ! Ou, attention, il fait froid, il faut te couvrir ! » Le vent est notre ami, il suffit de l’écouter. Mais parfois, il peut se mettre en colère et devenir notre plus grand ennemi. En grandissant, tu apprendras à le connaître…
- Merci, grand-père ! Maintenant, je comprends mieux… Le vent aime jouer avec les fleurs car des fois je les vois bouger comme si elles dansaient…
Et le pacte se brisa... Extrait Vers 23 heures, Paul arriva enfin. - Ma chérie, fallait pas m’attendre ! s’exclama-t-il en voyant sa femme, en chemise de nuit, sur le canapé. - Je n’ai pas sommeil, Paul. - Quelle journée ! dit-il en l’embrassant. - Tu dois être épuisé, mon amour. - A qui le dis-tu, je suis claqué. J’ai pas arrêté de la journée. Je devais absolument terminer les croquis du nouveau prototype de l’A 327. Jacques et moi travaillons sur ce projet depuis plus d’un an. Demain, nous devons le présenter aux membres du conseil d’administration. - C’est le grand jour, si je comprends bien. - Oui, ce sera certainement un grand jour pour toute notre équipe, à moins que le projet ne tombe à l’eau. - Pourquoi tomberait-il à l’eau ? Vous avez passé énormément de temps dessus. Je suis certaine qu’il remportera un franc succès. - J’espère que tu as raison, ma chérie. Jacques, mes collaborateurs et moi-même y avons mis tout notre savoir-faire et toute notre énergie. - Je suis sûre que vous serez récompensés pour vos efforts. - Croisons les doigts. J’ai une de ces faims ! - Je t’ai gardé du potage et une belle part de tarte aux pommes. - Je sens que je vais me régaler… - Tu vas pas me croire mais Marie m’a aidée à préparer le dîner, ce soir. - C’est vrai ? - Oui. Et je dois dire que j’ai passé une agréable soirée. Nous nous sommes amusées comme des gamines. Tu aurais vu l’état de la cuisine ! Il y avait de la farine partout. read more read more :le pacte se brisa
3 Révélation
Perchée sur une branche d’un grand chêne, Eléna contemplait l’horizon. Des étendues de champs de blé et de tournesol, des clairières remplies de buissons, de genêts, d’une multitude de végétaux herbacés comme la digitale pourpre et, au loin, elle apercevait le lac du Guéry entouré d’un côté par une forêt de sapins, de l’autre par un champ aménagé pour les vacanciers venus se promener ou se détendre dans un cadre idyllique et apaisant. Au-delà, elle pouvait apercevoir la chaîne des Puys qui dominait la vallée. Eléna fermait les yeux et aspirait un grand bol d’air, puis expirait lentement, très lentement. Elle écoutait la mésange égrener son chant, sentait la chaleur des rayons de soleil sur sa peau, une brise légère balançait ses cheveux au vent. Eléna souriait, elle était en paix avec elle-même et en symbiose avec la nature. Dans cet endroit, elle se sentait libre comme l’infini, la terre et le ciel semblaient s’enlacer. Tout à coup, elle fut surprise dans ses songes par un grognement fracassant venu du lointain. Elle scruta l’horizon et vit une masse de gros nuages gris qui s’avançait dans sa direction. - Un orage se prépare. Il vaut mieux que je rentre, pensa-t-elle. Elle se redressa sur sa branche et s’apprêtait à descendre de son arbre lorsque brusquement un violent coup de vent la déséquilibra provoquant sa chute. Eléna tomba, sa tête heurta brutalement le sol, elle perdit connaissance. Elle aurait pu rester longtemps à terre inerte car peu de personnes passaient à cet endroit. Le bruit qu’elle avait entendu était bel et bien un orage qui s’annonçait. Le vent s’était levé, l’air s’était rafraîchi, les nuages noirs emplissaient le ciel. Par chance, des randonneurs, qui avaient décidé d’écourter leur ballade, passèrent par-là et la virent allongée par terre. L’un d’eux lui prit le pouls : - Elle respire. - Mademoiselle, mademoiselle, est-ce que vous nous entendez ? s’écria un autre. - Elle est inconsciente. Il faut appeler les secours. Pendant qu’un randonneur téléphonait pour donner l’alerte, un autre pratiquait sur Eléna les gestes de premiers secours. Il libéra les voies aériennes en basculant délicatement sa tête en arrière et en soulevant son menton afin de décoller la langue du fond de la gorge. Il vérifia sa respiration en observant si sa poitrine se soulevait et s’abaissait régulièrement, approcha son oreille de la bouche d’Eléna afin de sentir le souffle de sa respiration. Puis il la tourna en position latérale de sécurité. Les randonneurs chuchotaient, ils se demandaient ce que faisait une jeune fille seule dans cet endroit isolé. Les équipes de secours de la sécurité civile arrivèrent rapidement sur les lieux. Eléna fut acheminée par hélicoptère jusqu’au CHU de Clermont-Ferrand. Le médecin urgentiste et son équipe placèrent Eléna en réanimation et lui firent passer une série d’examens médicaux (analyses, échographies, électrocardiogramme, électroencéphalogramme, scanner…). Les résultats ne démontraient aucune fracture, aucune hémorragie, aucun traumatisme, rien d’anormal. Le personnel soignant était perplexe. Ses organes vitaux étaient en excellent état. Cependant, le cœur, les poumons et le cerveau fonctionnaient au ralenti, Eléna était dans le coma, dans un profond sommeil, inconsciente. Le médecin n’arrivait pas à la réveiller, elle ne réagissait à aucun stimulus, il était perplexe. L’équipe médicale décida de la brancher à des appareils pour la maintenir en vie jusqu’à ce qu’ils découvrent et diagnostiquent sa pathologie. Pendant que les médecins s’acharnaient sur le corps d’Eléna, son âme avait quitté son enveloppe terrestre et observait avec inquiétude le va-et-vient de toutes ces personnes habillées de blanc qui s’agitaient autour de ce corps inerte. - Mais ? C’est moi allongée sur ce lit ! Suis-je morte ? se demanda Eléna. Elle fut envahie par de fortes émotions. Elle éprouvait tout d’abord de la peur, puis une sensation de bien-être absolu l’envahit. Elle se sentait légère, libre, en paix. Tout à coup, une lumière éblouissante fit son apparition dans la pièce, une lumière ressemblant étrangement à une aurore boréale, une sorte de voile blanc. Eléna émerveillée, était attirée vers cette forme qui l’enveloppa aussitôt. Ensemble, elles s’élevèrent, traversèrent les murs de l’hôpital et se trouvèrent à l’extérieur du bâtiment. La lumière la berçait chaleureusement, comme une mère berce son enfant, Eléna était envahie de bonheur. Elle volait dans les airs, de plus en plus haut, elle ne distinguait plus le relief de la terre. Elle traversait la couverture nuageuse de l’atmosphère, un mélange thermodynamique d’air sec et de vapeur d’eau. Etonnamment, elle n’éprouvait aucune sensation liée aux différences de températures en altitude. Elle pénétra dans la troposphère et aperçut un avion qui survolait la zone. Puis la stratosphère où flottait un ballon de la météorologie, la mésosphère et ses impressionnantes pluies de météores, et enfin la thermosphère, lieu de prédilection des aurores boréales : - C’est magnifique ! pensa Eléna. Elle flottait au milieu d’un tourbillon de mille couleurs, elle aurait voulu ne jamais quitter cet endroit féérique mais elles continuaient leur ascension et arrivèrent dans l’exosphère. Le noir, le silence, l’immensité de la Voie Lactée… Eléna se retourna et vit la Terre s’éloigner, elles s’approchaient de la lune, satellite naturel de notre planète. La lumière termina son long voyage sur la lune. Eléna toucha le sol lunaire : - Je marche sur la lune ! Incroyable, je sens mes pieds sur le sol ! s’exclama-t-elle. Soudain, la lumière prit forme humaine, sous les traits d’une silhouette féminine. Elle invita Eléna à s’asseoir sur le sol et ramassa une poignée de sable lunaire qui tomba instantanément de ses mains en glissant entre ses doigts. lire la suite chapitre 3 Révélation
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Quotations
Lettre ouverte de Cristina FD Jesus
" Ce qu'on ne peut pas dire , il ne faut surtout pas le taire, mais l'écrire "
© Jacques Derrida |
Prize
" Avant que le vent ..." livre sélectionné pour le Livre du mois de mai 2013.
Bonjour Marie-Christine,
Je vois que nous avons des points communs... c'est peut-être pour cela que nous avons ressenti l'envie d'écrire, de nous exprimer... la solitude non désirée est difficile à vivre...
Concernant ta chronique sur mon livre "Avant que le vent...", je la trouve formidable et très émouvante, merci infiniment !
Un seul petit bémol : grand-mère est née en 1912 et non 1917 (ça doit être une erreur de frappe !).
En tout cas, mille mercis pour ton article !
Bisous ma tendre amie...
Cristina e-mail 6 mai 2013
"L'ultime espoir de l'humanité" sélectionné Livre du Mois d'Août 2012.
"Bonjour Marie-Christine, |
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Rentrée Littéraire 15 septembre 2012.
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