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Contact Info
Anita Baños-Dudouit | |
Paris | |
France | |
*** | |
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roman-noir-de-blouse-blanche.over-blog.com |
Biography
Anita Baños-Dudouit : Est née en 1952, en région parisienne (France.)Très jeune elle s'adonne à l’écriture. Cette passion succède tout naturellement à celle de la lecture.. Ses débuts d’auteure se tournent vers des écrits personnels puis vers la poésie. Sa profession d’infirmière en milieu psychiatre est le terreau fertile qui alimente son imagination. Sa vie familiale plein remplie lui laisse peu de temps pour l'écriture mais elle le grapille pour s'adonner à sa passion dévorante et libératrice.
La publication d’une nouvelle « Les larmes d’Aphrodite » dans un magazine féminin l’incite à tenter l’édition. Ses espoirs se concrétisent chez « Edition du bout de la rue » à Vanves, une maison d’édition indépendante. « Trouble miroir », un roman noir psychologique auto-fictif est édité à compte d’éditeur. Une expérience professionnelle anxiogène a présidé à sa naissance. A la demande des lecteurs qui réclament la suite, la fin étant ouverte, elle la leur concocte. Le roman est promu par les revues et sites professionnelles de Santé et vient d’être référencé sur le site « Le choix des libraires ». Il va être transféré sur CD pour les Intellectuels Aveugles et a été sélectionné pour figurer sur le stand francophone de la foire du livre de Liebzig en Allemagne. Il participe à des salons et événements littéraires. Parallèlement, elle s'est remise à la poésie et des poèmes sont publiés en revue. Vient de paraître avril 2014, la suite de " Trouble miroir " un nouveau roman passionnant " Fausses Impressions "
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Bibliography
Nouveau la suite de " Trouble miroir" est enfin arrivée ! " Fausses Impressions" Si vous avez apprécié "Trouble miroir", découvrez la suite des aventures de l'infirmière Sarah dans "Fausses impressions". Ce 2éme roman peut se lire en premier.
Comment deux faits divers peuvent-ils influencer les destinées ? Par son inconscience, un skieur provoque le décès d'un des sauveteurs ... L'infirmière Sarah Béranger pensait que ses démons du passé s'étaient éloignés mais à nouveau, ils perturbent ses nuits. Le passé est-il inoffensif ? à découvrir aux Editions du bout de la rue
Salon de Nesles 18 novembre 2012. 2011 à 2012 - parution de poèsies - "Les chemins de Traverse" edition l'Ours Blanc dans la revue de poésie 2011 - publication : "Trouble miroir"
1999 - publication nouvelle : "Les larmes d'Aphrodites" dans le magazine "Intimité" |
Literary critic
Littérature et psychanalyse entretiennent des liens étroits, se nourrissent l’une l’autre. S’affrontent parfois. De là à considérer la fiction comme une thérapie… Attention au transfert ! “Au train où vont les choses, ce seront bientôt les critiques littéraires qui rendront compte des livres des psychanalystes et les revues spécialisées de psychanalyse qui évalueront les romans désarticulés, disloqués d’aujourd’hui.” L’article que vous avez sous les yeux est la preuve que Jean-Bertrand Pontalis, psychanalyste et écrivain, avait vu juste. La citation est extraite d’un échange passionnant avec Michel de M’Uzan paru en 1977 dans la Nouvelle revue de psychanalyse et réédité aujourd’hui dans Le Laboratoire central, qui réunit neuf entretiens et exposés de Pontalis. Oui, les liens presque incestueux entre psychanalyse et littérature ne cessent de se resserrer. Au point qu’aujourd’hui les romans écrits par des psychanalystes ou ceux qui prennent la psychanalyse pour objet abondent. read more sur Attention au transfert ! Chroniques sur les sites : * Infirmiers.com par Bernadette * le blog de la Fringale littéraire par Marie Barillon * dans le magazine L'infirmière Magazine * un article de deux pages dans l'hebdomadaire Nous Deux par le journaliste Cédric Choukroun. * la revue de la MNH Psychiatrie magazine le 27 novembre 2012. commentaire sur " Trouvel Miroir"
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Translation
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Extract of book
L’infirmière Sarah Béranger se trouve confrontée au miroir trouble de ses cauchemars. Qui est le docteur Daniel Kléber, est-ce le psychiatre qu’il prétend être ou le sociopathe pervers avec lequel elle a jadis entamé une partie d’échecs ? Elle doit découvrir la vérité malgré les risques encourus. L’ambiguïté des situations, des sentiments, des personnalités sème le trouble dans l’esprit de l’infirmière. Et quand le doute, insidieusement inoculé, fait son œuvre, la raison vacille. Le plus infime détail alimente le soupçon, achemine et installe progressivement l'angoisse. Prisonnière d’une distorsion de la réalité, que croire, qui croire ? Sa confiance soumise à rude épreuve, Sarah frôle la paranoïa. La manipulation et les relations complexes tissées entre les personnages vous emportent la manière d’un thriller dans l’univers de la psychiatrie. » Prologue
L'infirmière Sarah Béranger arriva la dernière à l'atelier de musicothérapie où se tenait la réunion de service. A la recherche d'un siège libre, elle repéra, à côté du Dr Françoise Valence, la présence du nouvel interne de psychiatrie « Non, pas lui ! » Le rythme de son pouls s'accéléra, elle frissonna et pâlit sous l’émotion, déconcertée par sa ressemblance avec Yann Arman, l'un de ses anciens patients. Hallucination, sosie, jumeau ou usurpateur ? Elle privilégia cette dernière éventualité car un tel fait divers avait défrayé la chronique hospitalière l’année précédente et pouvait avoir fait des émules. Incapable de réfléchir, de prendre la décision d’accuser cet homme d’imposture, glacée de la tête au pied, elle restait figée à l'entrée de la salle. Sa seule pensée cohérente : fuir. Elle s'apprêtait à faire demi-tour lorsque sa collègue Flore l’interpella. Sans discrétion, elle lui indiquait une chaise vacante, dirigeant sur elle toute l'attention. Sarah retint sa respiration tandis que le regard sombre de l’interne glissait sur elle sans aucun signe d'une quelconque reconnaissance. « Quelle maîtrise dans la dissimulation ! Ce harcèlement frise la persécution. » pensa-t-elle outrée.
Chapitre 1
De l'extérieur, rien ne distinguait cet hôpital d'un autre. Situé en banlieue parisienne, l’Asile, nom populaire encore donné par ceux qui l'avaient connu avant le souffle réformateur de Mai 68, avait été renommé Centre HospitalierSpécialisé et les malades mentaux étaient devenus des patients. Des changements de dénomination dans le but de masquer la dure réalité de ceux qui résidaient en ce lieu sans l'avoir choisi. Implantés dans un parc aux arbres vénérables, les bâtiments austères en meulière à deux étages respiraient le calme, un calme apparent et trompeur pour les non-initiés. Passer la grille télécommandée du CHS puis la porte verrouillée d'une unité de soins c'était pénétrer dans un monde parallèle. A l'heure du choix professionnel, suivant un parcours tracé par l'exemple maternel, Sarah Béranger avait décidé d’embrasser la carrière d'infirmière en psychiatrie. Au contraire de ses copines paniquées, elle savait de quoi il en retournait et ne regrettait pas sa décision. Elle avait découvert là un rôle complexe et passionnant. Pourtant, quelle infirmière peut se targuer d'être suffisamment préparée à aborder les difficultés qu'entraîne le contact quotidien de patients atteints de troubles psychiques ! « La profession requière une bonne connaissance de soi mais à vingt ans peut-on prétendre se connaître suffisamment quand une vie parfois n'y suffit pas. » jugea-t-elle. Après trois années passées à travailler dans une unité Femmes, Sarah fut affectée dans la première unité mixte où toutes sortes de pathologies psychiatriques se côtoyaient : quelques graves névroses, des psychoses, aiguës pour la plupart. Quelques jours après sa prise de service, un homme de vingt-huit ans fut hospitalisé : la troisième tentative d'insertion dans la vie sociale de Yann Arman se soldait encore par un échec. Effacé et silencieux, il avait décidé de dissimuler l’un de ses yeux derrière un bandeau de cuir noir. Comme il n'y avait là aucune obligation médicale, Sarah s'en étonna. – « Pourquoi vous cachez-vous l'œil, Monsieur Arman ? – C'est pour le préserver. J’alterne chaque semaine. » Il ne voulut pas s'en expliquer plus. Cet accessoire lui donnait l'apparence d'un ténébreux corsaire. Un sourire énigmatique persistait sur ses lèvres minces dès qu'il captait son attention. La seule note discordante de ce portrait tenait à la tonalité de son rire, un rire dissonant et crispant, manquant de toute forme de gaieté. |
Quotations
"Quand on travaille sans en avoir envie ce n'est pas untravail mais une besogne, c'est dans ces moments là qu'on se rend compte à quel point on a peu de mérite à faie un travail qui nous plaît . Quand on travaille dans le joie et l'enthousiasme on a droit à rien même pas au succès, on est payé d'avance." © Sacha Guitry |
Prize
15€ - disponible sur Amazon - Chapitre.com - commande en librairie sur le site www.editionduboutdelarue.fr ou en direct : adudouit@yahoo.fr - frais de port offert pour la France. |
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Agenda des dédicaces et salon 2014 2 février - Salon Parmain
Prochainement 23 et 24 février 2013 Salon de Villiers sur Orge ... Roman noir de blouse blanche !
Dédicace de " Trouble Mirroir" read more décembre 2012. Marie du 16ème arrondissement de Paris
Lire en Nesles le 18 novembre 2012. J'y serai avec "Trouble miroir" . On aime la région ! Et je pense que ma gourmandise va être satisfaite ... L'affiche est savoureuse, n'est-ce-pas ?
Salon du livre de Belliole ( france) Spécial roman Noir. 13 et 14 octobre 2012. |