![]() |
9796 | |
OFFLINE | |
8 years ago | |
8 years ago | |
8 years ago |
Contact Info
Nicolas Clément | |
SALLELES CABARDES | |
france | |
+330683084893 | |
... | |
Nicolas clement |
Biography
Agé de 43 ans, je suis marié et père d'une petite Lou-Ann âgée de onze ans. Après quinze ans dans la gendarmerie nationale, j'ai créé mon agence de détective privé et de commercial. Je suis autodidacte et passionné par l'écriture. Je me qualifie de "skizophrène littéraire" car je n'ai pas l'impression d'être l'auteur quand je me relis ! C'est paradoxal ! |
Bibliography
Gendarme...rie, ton gendarme pleure auteur : Nicolas Clément Editions velours 2006 disponible sur amazone.fr commentaire sur amazone: "Livre très bien écrit racontant la vie d'un gendarme ordinaire comme il se décrit qui a des problèmes dans sa carrière avec sa hiérarchie. On se voit bien à la place de celui-ci et on comprend sa réaction devant les problèmes."
"Gendarme ... rie, ton gendarme pleure" a été lu par bon nombre de gendarmes qui ont su me remercier par cette phrase "je me retrouve dans ton livre !" et là est le plus beau compliment. Loin d'être un livre technique, il offre la possibilité à qui le souhaitera de connaître la vie d'un gendarme ordinaire, ses joies, ses peines, ses enquêtes. Il ne dit que LA vérité qui n'est pas MA vérité. Que vous connaissiez ou non "la vieille dame", venez la découvrir en y pénétrant "de l'intérieur"...
Pensées d'un anonyme Auteur : Nicolas Clément Editions velours 2006 EAN13 : 9782351670644
ISBN : 978-2-35167-064-4 Date Parution : 15 janvier 2006.
Le Peintre auteur : Nicolas clément 2012 ISBN 978-2-8225-0437-9 prix : 19.45 €
Le capitaine Mattelli et son ami le lieutenant Hayoit sont affectés à la brigade criminelle de Lyon. Leur expérience d’enquêteurs n’est plus à démontrer. Face à un peintre aux méthodes particulières, leurs compétences vont, toutefois, être mises à rude épreuve ! Une série de meurtres… Un point commun : des peintures. De rebondissements en rebondissements, entrez au cœur de cette enquête dont vous ne sortirez pas indemne
Un nouveau roman en court d'écriture : " L'ombre ? "
|
Literary critic
Après 15 ans et 4 mois en gendarmerie dont 9 en qualité d'Officier de Police Judiciaire, j'ai mis un terme à ma carrière pour devenir policier municipal.
"Gendarme ... rie, ton gendarme pleure" de Nicolas Clément a été lu par bon nombre de gendarmes qui ont su me remercier par cette phrase "je me retrouve dans ton livre !" et là est le plus beau compliment. Loin d'être un livre technique, il offre la possibilité à qui le souhaitera de connaître la vie d'un gendarme ordinaire, ses joies, ses peines, ses enquêtes. Il ne dit que LA vérité qui n'est pas MA vérité. Que vous connaissiez ou non "la vieille dame", venez la découvrir en y pénétrant "de l'intérieur" read more
"Pensées anonymes " de Nicolas Clément. commentaires de lecteurs. Je conseille à tous ceux qui connaissent, ou non, Nicolas Clément de se plonger dans les "Pensées" de cet homme au grand coeur. Un vrai régal !!!
C comme Caustique Voici ma "Pensée" du jour pour ses "Pensées".
"G comme générosité"...
A tous ceux qui n'osent pas confier leurs écritures, Il faut lire Nicolas Clément. |
Translation
- |
Extract of book
LE PEINTRE Nicolas CLEMENT A ma maman et à Eric qui ne liront jamais ces lignes ... Vous me manquez terriblement ... Je vous aime !
CHAPITRE I : Paul DELORME LYON, le 17 juin à 04.00 Les rues de la Croix Rousse sont calmes. Il est quatre heures du matin lorsque Paul DELORME, comme chaque jour quitte son logement à l’étage pour rejoindre son commerce. Depuis dix ans, il allume le four à pain et pétrins de sa boulangerie. Son ouvrier ne commence qu’à six heures trente. Divorcé, sans enfant, il se consacre uniquement à son travail, sa passion. Il ne fut boulanger par hasard, mais par amour, par envie de succéder à son père au sein de l’entreprise familiale. En ce samedi matin, il s’affaire à la création de ses pains au chocolat et autres croissants car, comme chaque week-end, il sait que les noctambules imbibés vont passer par l’arrière de son commerce pour lui réclamer ses viennoiseries si réconfortantes au moment où les méfaits de l’alcool, du bruit et de la drogue rendent l’organisme humain vulnérable. Il a, de toute façon, pris l’habitude de gérer au mieux cette clientèle souvent bruyante, régulièrement éméchée mais rarement violente. Son physique de rugbyman, 1m92 pour 110 kilogrammes bien portés, l’aide aisément à maintenir un calme relatif afin que les voisins ne soient pas gênés par l’arrivée des fêtards. Tous savent qu’ils doivent stationner leur véhicule au parking de la mairie à deux cents mètres du commerce et venir à pieds le plus silencieusement possible. Paul est intransigeant sur ce respect des autres. Il n’est jamais inquiet du départ car, les bouches pleines de viennoiseries n’ont plus envie de chanter ou meugler ! Les premiers clients aux pas nonchalants et à l’haleine hostile se présentent enfin. Les formules de politesse, les mots pour rire, les vannes de mauvais goût vont se côtoyer ainsi jusqu'à sept heures au moment où le magasin ouvrira sous le charme de Pauline, la vendeuse de 19 ans particulièrement appréciée des papys locaux qui prient leurs épouses de ne point se lever, prétextant une envie de leur servir un petit déjeuner, mais omettant de dire que le décolleté de la vendeuse au forme pulpeuse est leur seul motif à tant de gentillesse. 17 juin à 05 heures 45 : Les premiers clients servis, le calme revenant, Paul sort devant son commerce fumer une cigarette. Un jeune homme d’une vingtaine d’années s’approche de lui. Il pose un sac au sol : « Vous êtes Paul, Paul DELORME ? - Oui mon grand, je te sers dans deux secondes, le temps de finir mon clope ! - Je ne suis pas là pour ça ! - Eh petit, je n’ai pas de temps à perdre en jouant avec toi, je fais ma pause et je n’ai pas spécialement envie qu’on me casse les couilles alors va jouer plus loin, le jardin d’enfant est à deux rues ! Paul commence à perdre son calme alors que son jeune interlocuteur à la corpulence longiligne reste placide : « Vous savez Monsieur DELORME, je peins, j’aime peindre ! - Tu le fais exprès ou quoi ? - Je peins les rares souvenirs de mon enfance ! - Putain mais t’es psycho ou quoi ? Barre-toi avant que je t’en colle une ! T’es pas de taille petit alors stoppe ! - J’aime peindre et c’est toujours le même tableau. » L’aplomb du jeune adulte commence à déstabiliser Paul DELORME. Lui, le grand gaillard que personne n’ose défier se retrouve face à une personne au comportement gentiment provocateur, au calme olympien et à la détermination affirmée. « Ecoute petit, je pense qu’il y a un malentendu là tu ne crois pas ? - Non pas du tout, je peins à cause de vous ! - Putain, là ça va mal finir ! S’énerve Paul. Il s’approche de son interlocuteur espérant l’attraper par le cou pour lui flanquer une bonne raclée.
Toujours aussi calme, le jeune recule et sort une arme de poing puis la braque sur le boulanger : « Ola, ola petit, reste calme, tu fais quoi là ? - Je suis calme, n’êtes vous pas le seul énervé depuis tout à l’heure ? Veuillez rentrer dans votre commerce et fermer la porte. - Mais qui es tu ? - Ah pardon, je ne me suis pas présenté. Je me nomme Damien » - Mais que veux-tu ? De l’argent ? - Non ! - Arrête, tu me fais peur là ! Arrête tes conneries pendant que c’est encore temps ! » Damien se baisse tout en pointant DELORME. Il ouvre son sac et en sort un écriteau sur lequel est écrit « REOUVERTURE DANS UNE HEURE – MERCI » « Je vous serai gré d’afficher ça sur la porte de la boulangerie afin que nous ne soyons pas dérangés. » DELORME s’exécute sans même poser de questions. « Au dessus c’est votre appartement ? - Oui. - Montons le visiter et je vous remercie de ne pas faire de geste brusque qui pourrait entraîner un coup de feu intempestif ! » Damien prend son sac d’une main, pointe DELORME qui le précède de l’autre. Les deux hommes montent et arrivent dans le séjour. « Puis-je m’asseoir Monsieur DELORME ? - Oui, mais à quoi tu joues ? Damien s’assoit sur le canapé, lance le sac et prie le commerçant de fouiller à l’intérieur et de sortir ce qu’il y trouvera. « Un tableau ? Que veux tu que j’en fasse de ce tableau ? Questionne le boulanger - Décrivez le moi s’il vous plaît ? - Mais t’es vraiment barge toi ? » Pour la première fois depuis leur face à face, le jeune homme hausse le ton : « Barge vous dites, barge ????????? Effectivement je le suis peut être devenu !!!!!!! Sans doute même ! Décrivez moi ce putain de tableau ou je vous bute ! - Ok, Ok ça va !!!!!!!!!!!!! Je vois un lac bordé de sapins, une barque au centre avec une femme à l’intérieur et un enfant dans ses bras, il me semble ! » - Effectivement bonne analyse, très bonne lecture même. Merci de décrocher l’horloge au dessus de votre téléviseur et d’accrocher mon œuvre à la place. - C’est toi qui peins ça ? - Ne vous ai-je pas dis que je peignais ? - Si, si mais ça c’est de l’art ! - Merci ! je crois qu’il est temps d’aller rouvrir votre commerce, il est six heures quinze ! - D’accord et toi tu fais quoi ? - Moi, Monsieur DELORME, je repars, je voulais vous offrir mon tableau et c’est fait ! - Putain t’aurais pu le faire autrement non ? Tu m’as fait vraiment peur je me suis vu mourir là ! Allez, on descend, tu te barres et chacun reprend sa route alors ! - Exactement Monsieur, chacun reprend sa route mais je vous prie de garder vos distances jusqu’à ce que je vous quitte ! - Pas de souci, de toute façon avec un flingue pointé sur moi, je ne vais pas faire le malin ! »
Les deux hommes redescendent. DELORME précède Damien. Ils arrivent à la porte du commerce. Damien jette un œil et constate que personne n’est présent dans la rue. « Au revoir Paul ! Le boulanger est ébahi par la situation : « Bon bien au revoir ! » Le jeune homme ouvre la porte, regarde une dernière fois le boulanger, monte son bras à hauteur de sa tête puis appuie sur la queue de détente de son arme. Un bruit sourd retentit dans l’aube naissante. Le jeune homme quitte les lieux en courant. La vie de Paul DELORME vient de s’achever ! Un seul coup de feu tiré à bout portant, un seul impact en plein front, Paul s’écroule, mort sur le coup ! Les quelques clients qui s’approchaient du commerce se cachent, d’autres hurlent ! Les appartements et maisons jusqu’alors assombris s’ouvrent, les lampes s’allument. Les commentaires, les questionnements fusent ! « Qu’y a-t-il ? - Vous avez entendu ? - On aurait dit un pétard ? - Un pétard, un coup de feu tu veux dire ! - Quelqu’un a t’il appelé les gendarmes ? - Que se passent-ils ? C’est quoi ce bordel ? L’ensemble du voisinage est à sa fenêtre. Soudain, un cri fait taire les curieux, un hurlement d’effroi : « Paul, Paul, réponds moi ! Paul je t’en supplie ! » S’écrie Benjamin le jeune ouvrier du boulanger. Il n’a même pas pris le temps de garer son scooter dans la remise. La machine gronde et fume sur le sol. Le jeune homme apeuré, en larme, est couché sur le corps de son patron. « Mais appelez les pompiers, les gendarmes, bougez vous ! Il va crever ! Bougez-vous merde ! » S’étouffe l’un des fêtards qui vient de s’approcher ! - Calmez vous je m’en occupe » lui rétorque un voisin. » L’homme est de toute façon mort.
17 juin à 06 heures 40 :
« BAC 4 – ici le central ! - DURAND ! j’écoute ! - Violences avec arme rue Calas. Le boulanger serait au tapis ! Témoins sur place ! Pompiers avisés ! A priori l’auteur a quitté les lieux ! - Ok ! C’est parti ! Le lieutenant DURAND et son collègue le brigadier SANCHEZ se rendent toutes sirènes hurlantes sur les lieux. - Tu vois le charme de la BAC c’est ça ; tu penses aller pioncer et voilà que ça repart sourit DURAND. - M’en parles pas, je devais amener la gamine à l’école à 08.30, je vais appeler Isa ca va encore twister dans les chaumières, s’inquiète SANCHEZ. - Eh mon pote, je te l’ai dis ! T épouses un flic, t’épouses les emmerdes, c’est ça que t’aurais du lui dire à ta jeune donzelle avant de te marier ! je te l’avais dit ! » Les deux hommes rigolent à pleines dents tout en se rendant au devant du meurtre.
17 juin à 06 heures 45 Arrivée sur les lieux : Plusieurs équipages sont sur place. Les sirènes illuminent ce début de journée. Les pompiers sont là. Les voisins médusés, les badauds curieux s’agglutinent aux fenêtres ou dans la rue et chacun y va de son commentaire « Salut les gars, qu’est ce qu’on a ??????? - Un homicide DURAND, par arme à feu, un règlement de comptes je parie ! Lui rétorque un gardien de la paix. Le médecin des pompiers a constaté le décès. - Bien, il faut mettre en place un périmètre de sécurité et procéder au gel des lieux. Allez, on se bouge ! Dis aux uniformes d’aller chercher de la rubalise et interdisez l’accès sur cinquante mètres autour du corps ! Allez, on y va Merci ! J’appelle le légiste, les techniciens criminels et la Crim’, commande DURAND.... |
Quotations
"Je suis un idiot qui s'assume, ce qui me rend moins antipathique
que certains cons qui s'ignorent" |
Prize
Livre sélectionné pour le Livre du Mois de mars 2013 " le peintre" de Nicolas Clément.
Chère Marie-Christine, C'est avec une grande fierté et une réelle émotion que j'ai prix acte de cette reconnaissance de votre site. Outre vos commentaires, j'ai été particulièrement touché par la qualité de votre analyse tant sur mes personnages que sur ma propre personne.
Je vous remercie vivement de cette reconnaissance qui me va droit au coeur. Le Lieutenant HAYOIT Eric étant le nom de mon meilleur ami décédé il y a deux ans. """"""""""""""""""" Les écrits restent, la pensée s'efface ! """""""""""" Bien à vous Nicolas CLEMENT
le 2 mars 2013
|
Vidéos
- |
My Player
Event
Actualités de Nicolas Clément NICOLAS CLÉMENT EN DÉDICACE POUR SON ROMAN « LE PEINTRE »
Nicolas Clément dédicacera son roman « Le peintre » en décembre dans le Languedoc-Roussillon !
CAFE RESTAURANT LA GRILLE – CAPESTANG (34) vendredi 7 Décembre à partir de 18h CULTURA CARCASSONNE (11) samedi 8 décembre 2012 dès 11 heures MARCHE DE NOEL DE QUARANTE (34) dimanche 16 décembre 2012 dès 10h00 LIBRAIRIE PRESSE de PEPIEUX (11) le lundi 24 décembre 2012 de 10h00 à 12h00.
|